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Newsletter 09/02/2024 – passage en code orange pour les infections respiratoires (ILI)

Après les pics de RSV (virus respiratoire syncytial) et de coronavirus, nous assistons désormais à une forte augmentation de cas de grippe.  La conférence interministérielle de la santé a pris la décision de passer du code jaune au code orange, au 1er février.

En principe, en code orange, en plus des recommandations de base connues (hygiène des mains et de la toux, ventilation, rester à la maison en cas de maladie, port d’un masque en cas de symptômes ou de vulnérabilité, vaccination), une grande importance est à donner à une aération optimale des espaces intérieurs et à une attention particulière aux personnes vulnérables. Les personnes à risque sont les personnes âgées en particulier les plus de 65 ans et les personnes avec certaines conditions médicales sous-jacentes :  maladies cardio-vasculaires, diabète, maladies pulmonaires chroniques et aiguës, cancers, obésité, insuffisances rénales chroniques, faible système immunitaire.

Dans les établissements de soins, la mise en place du plan interne d’urgence est recommandée afin d’établir une analyse de risque. Les mesures qui accompagnent les différents codes couleurs du Respi-Radar sont présentes en annexe mais en attirant l’attention sur le fait que l’application des mesures sont actuellement des recommandations applicables localement, selon votre analyse. Vous pouvez accéder au tableau récapitulatif des mesures via le tableau récapitulatif accessible sur le document suivant :

L’OST et la Direction de la Surveillance des maladies infectieuses au niveau régional peuvent vous conseiller, voire intervenir.

Elles devront contenir un bref descriptif de votre situation motivant la demande, le nombre de tests souhaités pour les résidents et pour le personnel, l’adresse complète de votre service, son numéro complet d’agrément, le nom de la personne responsable à contacter et son numéro de GSM ainsi que la date de livraison souhaitée et la date du testing. Ces demandes continuent à être soumises à l’avis de la Cellule de Surveillance des maladies infectieuses de l’AViQ.